Dans cet article, vous apprendrez ce qui suit :
De : Carla Steffen
Vérifié : Veronika Hajek
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Des chiens ébouriffés aux vaches majestueuses, des poneys maladroits aux chats un peu snob : chaque animal a sa personnalité, ses préférences et ses bizarreries. Certains sont grands, d'autres petits, duveteux ou hirsutes, rapides ou lents. Mais malgré leur diversité, ils ont quelque chose de crucial en commun : ils sont tous des êtres sensibles et précieux. Pas pareil, mais égal : ce fait constitue la base des réflexions autour du thème du spécisme.
Le spécisme est difficile à dire et encore plus difficile à comprendre. Il s’agit d’une forme de discrimination fondée sur l’hypothèse selon laquelle l’appartenance à une certaine espèce détermine la valeur d’un être vivant et la manière dont il peut être traité. Pourquoi les animaux de compagnie sont-ils aimés et choyés alors que les soi-disant animaux de ferme sont nourris, mangés et transformés ? Ce sujet est sous-représenté dans la société malgré une sensibilisation croissante au climat et à la protection des animaux.
Le terme spécisme fait référence à une forme de discrimination dans laquelle les êtres vivants sont discriminés uniquement en raison de leur espèce. En bref, le spécisme fait référence à la discrimination contre les animaux non humains. La souffrance animale et l'élevage inapproprié sont donc des formes de spécisme, les animaux étant moins pris en considération du fait qu'ils n'appartiennent pas à l'espèce humaine, ou plus précisément à Homo sapiens.
Le spécisme est donc particulièrement ancré dans l’éthique animale ou le mouvement des droits des animaux. Les opposants au spécisme se disent antispécistes.
"N'est-il pas temps que l'admirable intérêt éthique de la civilisation pour les droits de l'homme ne soit pas logiquement étendu à nos espèces voisines ?"
Richard Rydner a construit le concept de spécisme sur ce principe. Ryder suppose que la capacité d'un individu à souffrir, indépendamment, par exemple, de son appartenance ethnique, de son espèce ou de son sexe, lui donne le droit d'être inclus dans la communauté morale. Selon Ryder, toute personne capable d’éprouver de la douleur a le droit de ne pas éprouver de souffrance. Tenter de faire souffrir un individu sans son consentement serait donc une discrimination et donc un spécisme.
Peter Singers précise le terme en faisant une comparaison avec d'autres formes de discrimination :
"Le fait que certaines créatures n'appartiennent pas à notre espèce ne nous autorise pas à les exploiter, et le fait que d'autres créatures soient moins intelligentes que nous ne signifie pas que leurs intérêts puissent être ignorés." ( http://philocast.net/wp-content/uploads/2019/09/Singer-2008-Rassismus-und-Speziesismus.pdf )
Les chanteurs font également référence à la capacité de souffrir, qui inclut le droit de prendre en compte ses intérêts.
Quelques exemples de spécisme peuvent être observés dans notre société aujourd’hui. Ceux-ci incluent, entre autres :
Très concrètement : le thème de l'alimentation pour chiens. On a trop peu parlé du fait que d’autres êtres sensibles doivent mourir pour satisfaire un amour très unilatéral des animaux. C’est du spécisme tel qu’il est écrit dans un livre d’histoires assez effrayant. Il est grand temps de dépasser cet état d’esprit. Chez VEGDOG, nous produisons uniquement des aliments végétaliens pour chiens comme GREEN CRUNCH afin d'éviter toute souffrance, que ce soit pour les animaux de la ferme ou de compagnie.
Nous aimons nos chiens, peu importe à quel point ils sont beaux ou hirsutes. Et cet amour ne doit pas être sélectif, mais doit également inclure tous les autres êtres vivants. Les animaux ne sont pas des matières premières, ils sont des habitants égaux sur cette planète. Cette idée est au cœur de VEGDOG. Nous nous engageons activement en faveur d'un meilleur bien-être animal et nos produits permettent à chacun de combiner facilement l'amour des chiens et l'amour des animaux sans spécisme.
Nous sommes des rêveurs et des acteurs. C'est pourquoi nous avons un troupeau de moutons sauvés, adoptons des poneys et soutenons des fermes. À quoi ressemblerait un monde sans spécisme ? Rien n'est plus puissant qu'une idée dont l'heure est venue. Et nous pensons que le moment est venu. 💚
Le spécisme est une forme de discrimination, et donc de désavantage des autres êtres, qui repose exclusivement sur l'espèce.
Le spécisme peut être évité en ne causant de mal à aucune créature capable de souffrir sans son consentement. Cela signifie, par exemple, qu'aucun animal de ferme ne peut être exploité à des fins alimentaires.
VEGDOG produit uniquement des aliments végétaliens pour chiens afin d'éviter la souffrance des animaux de la ferme. Nous clarifions également les fausses déclarations et les avantages de l’alimentation végétalienne des chiens.
Carla Steffen
